Emlyn Hugues

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Birthdate: 28.08.1947
Birthplace: Barrow-in-Furness, England
Other clubs: Blackpool, Wolves, Rotherham, Hull, Mansfield, Swansea
Bought from: Blackpool
Signed for LFC: £65000 February 1967
International debut: 05.11.1969 vs. Netherlands
International caps: England 62/1
Liverpool debut: 04.03.1967
Debut goal: 26.08.1967
Contract expiry: August 1979
LFC league games/goals: 474 / 35
Total LFC games/goals: 665 / 49

Player Notes:
Shanks saw Emlyn play in one of his first games for Blackpool and offered 25,000 pounds for him immediately. He got his man the following season for a considerably higher fee. Kop took him quickly to his hearts and he got the nickname "Crazy Horse" after he rugby-tackled Newcastle's forward Albert Bennet who was slipping through his grasp in his fifth game for Liverpool.

Emlyn started out as a midfielder and played there until 1973/74 when he moved to centre-half alongside Phil Thompson. They formed an innovative partnership, building Liverpool's attacks from the back by passing to the midfield instead of hoofing the ball upfield. Hughes was made captain instead of Tommy Smith. Hughes' will to win was incredible and he was a great leader on the field. He was voted FWA's player of the year in the 1976/77 season. Hughes was also made England captain and wore the armband in 23 matches, an inspiration on the international scene as well as with Liverpool. Hughes was a truly successful captain, holding aloft; 3 championship titles, the FA cup, the UEFA cup and two European cups. The only cup missing was the League cup, which he won as captain of Wolves in 1980.

je relaye le post de crazy horse sur un forum voisin:

"Rest in peace Emlyn

Le 10 Novembre 2004

Après Brian Clough et Bill Nicholson les mois derniers, le football anglais est à nouveau endeuillé par la disparition de l'une de ses plus belles figures. Emlyn Hughes, joueur mythique du Liverpool des années 60 et 70, est mort mardi, à l'age de 57 ans, emporté par le cancer.

Un sourire est resté gravé à jamais dans la mémoire du Liverpool FC et de ses supporters. Un sourire d'enfant appartenant à un adulte. Ce sourire est celui qu'affichait en permanence Emlyn Hughes, capitaine exemplaire du Liverpool Football Club.

Le Liverpool des années 60/70 a vu passer bien des joueurs de légende. Des Keegan, Toshack, Heighway et Smith, pour ne citer qu'eux. De tous ces hommes qui transportèrent le Liverpool FC sur le toit de l'Angleterre puis sur celui de l'Europe, Emlyn Hughes fut probablement l'un des plus attachants. Sans doute pour son rire communicatif et son allure. Hughes incarnait l'élégance même. Mais aussi pour son dévouement sans limite à son club.

Emlyn Hughes est né en 1947 à Barrow (Cumbria, Nord-Ouest, sur la côte) dans une famille de grands sportifs ; son père, son frère et son oncle étaient rugbymen professionnels, sa tante faisait partie de l'équipe nationale de Hockey sur gazon. Plus malin que les siens, le petit Emlyn choisit le foot. Il se passionne très tôt pour le ballon rond et fait ses classes dans l'équipe de son école avant de rejoindre les rangs du club local. Il est vite repéré par le club de Blackpool, ville située un peu plus au Sud de Barrow, en longeant la côte.

Hiver 1967, Bill Shankly qui cherche alors du sang neuf à injecter dans l'effectif vieillissant de Liverpool, surveille de près les jeunes talents de la région, dont Emlyn Hughes. Le staff des Reds se rend à plusieurs reprises à Bloomfield Road, le stade de Blackpool, pour superviser la star montante des White and Tangerine (Blancs et oranges). Jeune (il a alors 19 ans), fort, dynamique, ses services sont estimés à 25.000 livres, voire plus. Après plusieurs tentatives, c'est finalement pour 65.000 livres que le manager écossais parvient à amener le jeune Emlyn un peu plus au Sud, toujours en longeant la côte. « Il y a des joueurs sur qui les entraîneurs hésitent un peu. Ils sont bons, mais on ne sait pas vraiment si ça va marcher. Avec Emlyn, je savais que je ne prenais aucun risque ». Parole de Shankly.

Le 4 Mars 67, Emlyn Hughes est arrière gauche de l'équipe de Liverpool qui vient à bout de Stoke City, devant 50.000 personnes à Anfield. C'est le premier match d'Emlyn en rouge. 664 autres allaient suivre. Il inscrit son premier but chez les Reds quelques mois plus tard, lors du troisième match de la saison 1967/68 face à Newcastle, toujours à Anfield. Ce jour là, Liverpool atomise les Magpies 6-0 et le but de Hughes passe quelque peu inaperçu aux côtés du triplé de Hateley et du doublé de Hunt. Mais quinze jours plus tard, il rempile et marque l'unique but de la rencontre qui oppose Liverpool à Nottingham Forest.

Joueur complet, polyvalent, Hughes trouve sa place aussi bien au coeur de la défense, qu'au milieu de terrain ou au poste d'arrière gauche. Il est également très présent devant où il distile des centres millimètrés et des passes lumineuses pour ses attaquants. Il lui arrive aussi de décocher des frappes phénomènales. Les tirs de Hughes ont traumatisé bien des gardiens en Angleterre. Très énergique et très rapide, il marque les esprits par ses courses folles de la défense à l'attaque puis de l'attaque à la défense. Sur le terrain, Emlyn est partout. Il galope à la manière d'un infatigable cheval de course. On lui colle le surnom de 'Crazy Horse'.

Hughes symbolise parfaitement l'une des plus belles philosophies de Bill Shankly : chacun doit s'impliquer corps et âme dans le jeu de son équipe, y compris les défenseurs. Surtout les défenseurs. Surtout Hughes. Il se donnait toujours à fond, si bien qu'il devint l'exemple à suivre pour tous ses coéquipiers. Avant de quitter le pouvoir, Shankly fait d'Emlyn le capitaine de l'équipe. Ce dernier prend le brassard de Tommy Smith, joueur avec qui il entretient des rapports parfois tendus. Les deux hommes ne s'entendaient pas vraiment mais avaient cependant une grande estime et un immense respect l'un pour l'autre. Hughes ne rendra son brassard qu'en 1979, avant de rejoindre Wolverhampton.

Les buts doivent venir du bas estimait l'entraîneur écossais, et bien souvent, c'est d'Emlyn qu'ils venaient. En douze années passées à Anfield, Hughes marqua au total 48 buts. A 48 reprises donc, il laissa éclater sa joie comme seul lui pouvait et savait le faire, courant dans tout les sens, bondissant comme un gamin, les bras levés vers le ciel et la bouche grande ouverte. Aussitôt les congratulations terminées, il retournait vers sa défense aussi rapidement qu'il en était venu, au galop, toujours. C'est assurément ce qui lui valut la sympathie des supporters, au même titre que ses quatre buts (dont un doublé mémorable) face aux voisins d'Everton. Bien que n'étant pas natif de Liverpool, il vivait les derbies avec la même passion qu'un véritable Scouser (habitant de Liverpool). En 1977, à la fin du replay de la demi-finale de la Cup opposant les deux clubs de Liverpool à Maine Road (3-0 pour les rouges), Emlyn se retourna vers la caméra et dit « Liverpool are magic, Everton are tragic ».

Emlyn Hughes (à dr.) et Ray Clemence rapportent la Coupe d'Europe à la maison

En finale de la Cup 77, Liverpool s'inclina à Wembley face à Manchester United 2 buts à 1. Une déception que le champion d'Angleterre allait effacer quatre jours plus tard au Stade olympique de Rome en battant le Borussia Moenchengladbach 3-1 en finale de la Coupe d'Europe des clubs champions, l'équipe même contre laquelle Liverpool décrocha sa première coupe Uefa en 1973. Capitaine Hughes souleva la coupe par ses grandes oreilles et l'offrait pour la toute la première fois au peuple rouge. Il récidivait un an plus tard, cette fois à Wembley, contre Bruges (1-0), l'équipe même contre laquelle Liverpool remporta sa deuxième coupe Uefa en 1976. Décidément.

Ses succès chez les Reds lui valent de nombreuses sélections en Equipe nationale. Une soixantaine de caps sont à mettre à son actif (dont 23 en tant que capitaine). Mais Emlyn a le malheur de faire partie de l'équipe que toute l'Angleterre veut oublier, celle qui manqua la qualification pour la Coupe du Monde 1974.

Après une carrière en rouge bien remplie (665 matchs, 48 buts, quatre titres de champion d'Angleterre, deux C1, deux C3, une Cup), le Cheval fou s'en alla terminer sa carrière chez Loups de Wolverhampton avec qui il remporta le seul trophée qui manquait à sa collection, la League Cup. Il entraîna Rotherham, Hull, Mansfield et Swansea en espérant un jour atterrir sur le banc d'Anfield. Finalement, il tira un trait sur le métier d'entraîneur pour s'investir dans des œuvres caritatives. Il s'essaya également à la télé en devenant capitaine d'équipe dans le célèbre jeu « A Question of Sport » sur la BBC.

Gravement atteint par une tumeur du cerveau, Emlyn Hughes a combattu la maladie pendant près d'un an et demi. Même malade, il avait gardé son sourire d'enfant. Jusqu'à son retrait de la vie publique en Septembre dernier, il affichait encore sa joie de vivre légendaire. Il s'est éteint le 9 novembre, à Sheffield.

Aujourd'hui, Liverpool pleure l'un de ses plus valeureux serviteurs, mais aussi son plus beau sourire.

Rest in Peace Emlyn

You'll Never Walk Alone

Belle, très belle évocation du grand Crazy horse, un des capitaines légendaires des Reds.

http://fr.uefa.com/uefa/history/onthisday/index,newsid=216606.html

Emlyn Hughes OBE sur uefa

emlyn hugues quel joueur !!!

Quote :

ON THIS DAY: RIP CRAZY HORSE
09 November 2008

Liverpool bade an emotional farewell to a legend when Emlyn Hughes passed away on this day in 2004.
The two-time European Cup winning captain died at the age of 57 after a long battle with a brain tumour.

Those lucky enough to see him play will recall his boundless enthusiasm, one hundred per cent commitment to the cause and unrelenting passion for the club.

Signed in 1967 by Bill Shankly, he was to be one of the most inspirational signings this club ever made and in a glittering career with the Reds he won almost every honour in the game.

The man nicknamed 'Crazy Horse' played 665 times in his twelve years at Anfield, netting 49 times and winning two European Cups, four League titles, two UEFA Cups, FA Cup, UEFA Super Cup and two FA Charity Shields.

http://www.liverpoolfc.tv/news/drilldown/N161986081109-0835.htm

R.I.P.
YNWA

Respect à ce grand joueur de LFC qui nous a quitté tragiquement il y a 4 ans jour pour jour !!
C'était un capitaine fantastique au palmarès énorme ! Une vraie légende du club !!

An unforgettable Captain. RIP Great Crazyhorse

Joueur de légende, battant, R.I.P.

Deja 4 ans
R.I.P
Quel grand homme et joueur,respect!!

Quatre ans qu'il nous quittait. Le premier à soulever la ligue de Champions à Pool! Polyvalent, enthousiaste!!!

RIP Skipper!!!

Youi'll never walk alone!!!

photos d'un statue a son honneur a barrow in furness, ca ville nataile.

rip









c'est comme le statue de shankly a anfield !!!

Ant wrote:

photos d'un statue a son honneur a barrow in furness, ca ville nataile.

rip









c'est comme le statue de shankly a anfield !!!

RIP

Et son éternel et généreux sourire...

Rest in peace Crazyhorse!

http://uk.youtube.com/watch?v=mU9-3gv0K84

"You name it, he has it"

Paisley à propos de Emlyn Hughes. Je l'ai trouvé sur facebook, dans le groupe dédié au Crazy Horse.

They called him Crazy Horse on The Kop. But that was one of the more complimentary nicknames that Emlyn Hughes won for himself during his time at Anfield. I’m not giving away any great secrets of the Boot Room when I say he wasn’t – and still isn’t the most popular former player to have left Liverpool. Some of his team-mates weren’t that fond of him and one of them, Tommy Smith, absolutely hated him. Smithy and Hughes never spoke to each other.

I had to speak to them both when all the trouble was brewing up but it never mattered to me if players got on like a house on fire or if they couldn’t stand the sight of each other, as long as they didn’t let their personal feelings spill over onto the pitch. In fairness, neither of them did let their personal problems affect their games when they vere playing for each other and, at the time, their dislike of each other was something we managed to keep within the dressing room.

I certainly don’t think the fans who were watching them play alongside each other had any idea of the feud that was going on. And Emlyn never, ever let his feelings overshadow his respect for his team-mates’ playing abilities, and his inspirational quality as his predecessor as club captain. Even in his own autobiography Emlyn paid a glowing tribute to Tommy, writing: “He is the greatest captain I have ever played under. Although I never particularly got along with him as a man, I had nothing but admiration and respect for him as a captain on the pitch. He had powerful qualities of leadership.”

I can assure you, that is the biggest compliment that Tommy Smith will ever hear from the most unexpected source. Emlyn always struck me as a player who could have been an even better one if he had been a slightly different personality. He always liked to be King of the Roost. He wanted to be a charge hand.

Shank signed him when he was still in his teens. But he was already an established first teamer with Blackpool and, in those days, they were in the First Division. Shank had been looking to find someone to replace Willie Stevenson at left half and when Ron Suart was sacked as the Blackpool manager that was the time to make a move.

Ron had virtually promised us first refusal on Emlyn and once he had gone we knew we would have to go in if we wanted to make sure he joined us. One funny incident happened on the day that the deal went through as Shank decided to drive Emlyn back to Merseyside and had an accident on the way home. The rear light of Shank’s Ford Capri was smashed and he was later stopped by the police in Preston for driving without a rear light.

Emlyn tells the story of how, when stopped, Shank turned round to the officer and asked him: ‘Don’t you know who is in this car’. When the policeman said no, Shank told him: ‘There sits the future captain of England’, as he pointed to Emlyn. I’m not sure if it is true or not but it would be a typical Shank reaction and, equally, one that Emlyn would love to relate!

Emlyn was always very open about how he felt, very much the way he was when he appeared every week on Question of Sport. He wouldn’t hide his feelings and you only had look at his face to know what sort of day he had been having. He wouldn’t let anything nestle and would always be talking on and off the field. That helped to make him a good captain which is something he always wanted to be and didn’t mind who knew it. As captain he was always very selfish and was single-minded about anything, as long as he got it. He certainly wasn’t bothered about anyone else!

But alongside all this, he was a useful player and you couldn’t say anything else. That was a verdict shared by three separate England managers, all of whom used Emlyn as captain at one time or another. The late Joe Mercer, in his short spell in charge of the national team, made Emlyn his skipper and he also led out the side under the reign of Don Revie and Ron Greenwood.

Since leaving Liverpool, at a time when he thought he should have still been in the first team, he had a successful spell with Wolverhampton Wanderers, taking them to a League Cup Final victory at Wembley, an unsuccessful time as manager at Rotherham United and now he’s built up a name and reputation as a television and newspaper personality. It wasn’t that surprising that he had a hard time in management. Sometimes it is a lonely job, and Emlyn always gives the impression that he is happiest when he has an audience. He loves the limelight, he laps up the praise and enjoys being a personality with all the trappings that brings.

But don’t ever underestimate his worth to Liverpool as a player, as a wing-half, as a full back and as a central defender. His father Fred had played Rugby League for Barrow Schools in the 13-a-side code but always showed more talent at soccer. Barrow gave him trials when he was only 15 but decided he was too small and it was only as a favour to his father that Ron Suart gave him a second chance with Blackpool, although at first they weren’t too impressed. Even then he was on the small side but after 18 months of steaks and youth games he was taken on as an £8 a week professional. He had set off on the long road that, eventually, was to lead to him captaining Liverpool in an European Cup Final and leading his national team onto the pitch at Wembley!

written by Bob Paisley



À noter que même s'il avait quelques traits de caractère qui pouvaient le rendre détestable, il restait un grand professionnel (Tommy Smith aussi, by the way)! Tiens, ça me rappelle un certain Steven Gerrard!

EMLYN a été l'un des joueurs des REDS qui sont a l'origine de ma passion et de mon amour pour ce club merveilleux, je n'oublirai jamais son sens du devoir, sa combativité et la force qu'il communiait aux autres sur un terrain, le rouge lui allait comme un gant, le souvenir d'EMLYN ne s'effacera jamais et il faut que les plus jeunes connaissent sa carriere et sa vie helas trop courte

RIP crazy horse

autumn319 wrote:

Hughes symbolise parfaitement l'une des plus belles philosophies de Bill Shankly : chacun doit s'impliquer corps et âme dans le jeu de son équipe, y compris les défenseurs. Surtout les défenseurs. Surtout Hughes. Il se donnait toujours à fond, si bien qu'il devint l'exemple à suivre pour tous ses coéquipiers. Avant de quitter le pouvoir, Shankly fait d'Emlyn le capitaine de l'équipe. Ce dernier prend le brassard de Tommy Smith, joueur avec qui il entretient des rapports parfois tendus. Les deux hommes ne s'entendaient pas vraiment mais avaient cependant une grande estime et un immense respect l'un pour l'autre. Hughes ne rendra son brassard qu'en 1979, avant de rejoindre Wolverhampton.

Je suis justement en train de lire la biographie de Tommy Smith. (J'en suis au moment où Bob Paisley termine sa première saison comme manager du club) J'ai été assez surpris (pour ne pas dire très surpris) de la "mauvaise entente" entre Emlyn Hughes et Tommy Smith. Bon, Tommy Smith soulgine qu'il respecte le joueur Emlyn Hughes, mais il n'apprécie pas des masses l'homme Emlyn Hughes. Ce qui me surprend le plus, c'est qu'il dépeint Emlyn Hughes comme quelqu'un qui n'est pas franchement populaire dans le vestiaire. J'admets que je ne sais pas si vers la fin de leurs carrière respectives, ils se sont réconciliés ou rapprochés (peut-être en apprendrais-je davantage en lisant la fin de la biographie de Tommy Smith?)

De mémoire, il y a plusieurs anecdotes qui m'ont scotchés. Par exemple, quand Shankly a décidé de nommer Emlyn Hughes comme capitaine, Shankly a convoqué Smith dans son bureau pour lui apprendre la nouvelle et ça s'est passé en un claquement de doigts, du genre je te convqoue pour te dire que Hughes sera le nouveau capitaine de Liverpool, merci maintenant tu peux quitter mon bureau et rejoindre tes coéquipiers. Tommy Smith indique aussi qu'il apprendra plus tard que Hughes aurait menacé de quitter Liverpool s'il n'était pas nommé capitaine et que Shankly, ne voulant pas perdre un des ses bons joueurs, accepta de le nommer capitaine.

Une autre anecdote dit que, quand Shankly est venu dans le vestiaire des joueurs pour annoncer qu'il prenait sa retraite, le seul qui s'effondra en larmes fut Emlyn Hughes. Non pas que les autres joueurs n'étaient pas tristes, mais c'était comme si Hughes craignait peut-être de perdre ses "avantages" (le capitanat par exemple).

Bref, j'ai trouvé cela assez bizarre.